"A décrypter Robkha, on piétine dans une conjugaison interro-négative pronominale : ne me reconnaitrais-je pas ? Un peintre "à nu" c'est un peintre authentique : une spontanéité d'apparence qui n'exclut pas la recherche la plus débilitante comme la plus grandiose. Robkha choisit le mode d'expression le plus apte, non à la séduction, mais à l'interpellation de chacun d'entre nous." Marcel COSTE, journaliste pour Art-ménia, nov. 1998, n° 113, p. 34.